“Requiem in pace Circumeo

Circumeo, octo annos esse, terminatur operationes corporalibus rationes mendacium areas, et gratias legentibus, contributors enim quale relatio creavit super annis.Gratias ad omnes et nunc in sequens

Circumeo finita
Gratias enim ludens cum nobis et vale quisque”

 CIRCUMEO n’aura donc pas survécu à quatre ans de crise économique. Décision a donc été prise, avant de risquer de réelles pertes financières, de mettre ainsi fin à plus de 8 années d’activités basées sur le suivi de l’information dédiée à la chaîne de l’immobilier.

 Les raisons de cette fermeture ? Nous le disions à l’instant, une crise économique et financière inédite par son ampleur (2008- ?) et son lot de conséquences : baisse des budgets «com» =  baisse des recettes publicitaires.

CIRCUMEO est, et restera, un succès éditorial malgré sa fermeture. Car le titre, à travers son histoire, ses modes de diffusion papier seul, puis couplage avec une version dématérialisée, à toujours su anticiper les profondes mutations intervenues dans la presse en général. Transformation attenante à l’usage même de l’utilisation faite par les lecteurs de l’information.

N’oublions pas non plus, et saisissons ici l’occasion de remercier contributeurs, partenaires, annonceurs, abonnés et interviewés, l’aspect « Reconnaissance » d’un titre inscrit dans le paysage. Réalité concrétisée par plus de 8 années d’exercice dans la presse professionnelle immobilière (2004-2012).

Une légitimité, un chemin tracé qui permettra à son co-fondateur, l’auteur de ces lignes, de vous proposer de nous retrouver dans un avenir pourquoi pas proche.

Mais à travers un autre nom que celui de CIRCUMEO, voilà tout.

 Charles-Eric Petit – Rédacteur en chef

 

 

 

UNIS et FNAIM circonspects face à la question de l’encadrement des loyers

LA FNAIM et UNIS, dans un communiqué commun, saluent la volonté du ministère du logement et de l’égalité des territoires de « ne pas céder au dogmatisme du blocage strict des loyers où de leur révision à la baisse.

Toutefois, les deux syndicats restent surpris par l’étendu du zonage défini à l’échelle des territoires couverts par les établissements publics à coopération intercommunale. Dans les 43 agglomérations concernées et leurs 1400 communes, il est indiscutable que des disparités de loyers subsistent et que certaines d’entre elles « prise dans le filet », ne révèlent pas en réalité de tensions locatives.

 

La CNL se félicite de la parution prochaine du décret blocage des loyers

 

Le projet de décret sur le blocage des loyers dans le secteur privé à la relocation et au renouvellement du bail devrait concerner plus de 1 500 communes. La CNL se félicite d’avoir été partiellement entendue par la ministre sur sa proposition concernant le blocage lors du renouvellement du bail et accueille positivement cette mesure.

Baisse de 19% de la demande placée en IDF sur le marché de bureaux

  •  Relative résistance des petites et moyennes surfaces, coup d’arrêt pour les surfaces supérieures à 5 000 m²  
  • Valeurs locatives stables ; les mesures d’accompagnement ont atteint leur maximum sur la plupart des marchés  
  •  Toujours moins d’offres à Paris ; les libérations font grimper le stock ailleurs
  •  Faible volume d’offres neuves d’ici fin 2012 avec des libérations toujours plus nombreuses

La très grande majorité des marchés ont vu la demande placée reculer au 1er semestre 2012, y compris le QCA de Paris (-23%) où les transactions sur des surfaces intermédiaires (1 000 à 5 000 m²) manquent à l’appel depuis 6 mois. L’absence de grands mouvements pénalise en premier lieu La Défense; les commercialisations y ont représenté seulement 40 000 m² depuis le début de l’année. La Boucle Sud n’a finalement pas confirmé ses bons résultats du 1er trimestre et le marché revient en deçà de la barre des 30 000 m² commercialisés vs 87 000 m² au trimestre précédent. La première couronne aura finalement tiré son épingle du jeu, le report de grands utilisateurs sur des immeubles neufs ou récents lui permettant d’afficher une performance en hausse de 30% en un trimestre.   

 Paradoxe de marché, les valeurs locatives des produits neufs où les plus qualitatifs sont quasi stables d’un trimestre sur l’autre, l’ajustement s’opérant aujourd’hui par le biais d’octroi de mesures d’accompagnement. Ces mesures d’ampleur variable (de 10 à 20% de décote) ont atteint un point maximal dans quelques secteurs, dont le Croissant Ouest, où l’ampleur de l’offre pousse à un ajustement des valeurs faciales à court terme. Ce mouvement a déjà été amorcé sur les valeurs de présentation des grands immeubles, aujourd’hui très ouverts à la location à la division.

 Laurence Escleine-Dumas, Directrice générale déléguée de DTZ Jean Thouard, ajoute : « La tension du marché et ses acteurs devraient déclencher une baisse des valeurs locatives afin de redonner du souffle au marché. Les libérations à venir vont alourdir le stock et dégrader des taux de vacance actuellement encore honorables. La Défense en est l’exemple type. La meilleure tenue de l’économie pour 2013 et la levée d’un certain nombre d’incertitudes laissent présager d’un rattrapage, limité cependant aux seuls immeubles de qualité permettant aux entreprises de générer des économies de coût au poste de travail ».

 La stabilité de l’offre immédiate (3,6 millions de m²) à l’échelle francilienne masque un contraste très fort entre le marché parisien, où les disponibilités continuent de se contracter, et les autres secteurs. Les taux de vacance s’échelonnent entre 3 et 8% selon les micro-marchés parisiens. Peu de changements sont à signaler à La Défense, qui affiche un taux de vacance de 7%, alors que le Croissant Ouest (13% de vacance) et la Première Couronne (10%) ont vu leur offre augmenter (+10% en un an). Les livraisons de bureaux neufs ou restructurés ont peu impacté le niveau de l’offre immédiate : sur les 150 000 m² de bureaux livrés ce trimestre, seuls 50 000 m² restent disponibles et on dénombre moins de 80 000 m² de bureaux à commercialiser dans des opérations à livrer d’ici la fin de l’année. Il en va différemment des libérations de surfaces de seconde main….le marché devra en absorber près de 280 000 m² au cours des 6 prochains mois.

   

 

 

 

 

 

 

 

Encadrement des loyers : un décret vers la fin du mois de juillet

Ce sont au total 41 agglomérations qui devraient être concernées par la publication d’un décret visant à l’encadrement des loyers en France métropolitaine, mais aussi dans les DOM-TOM.

Sans surprise, les zones où les marchés locatifs restent tendus  tels que les principales agglomérations (Paris, Lyon, Marseille) seront concernées par cette mesure.

Une mesure qui rappelons-le, imposera au propriétaire bailleur de se conformer au taux fixé par l’IRL pour fixer un nouveau prix lors de la location d’un bien locatif ou lors d’un renouvellement de bail.

Bagarre de chiffres entre UNPI et USH : le communiqué officiel de l’UNPI

 
 
Contrairement à ce qu’affirme l’USH (Union sociale pour l’habitat) dans son communiqué de presse du 3 juillet 2012, les chiffres cités dans la plainte de l’UNPI auprès de la Commission européenne sont parfaitement exacts et ont une source officielle : il s’agit de deux tableaux réalisés par le ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de la mer (MEEDDM), en collaboration avec le ministère des Finances (FILOCOM) et portant sur la situation des ménages en 2007.
 
Ces tableaux sont reproduits dans un article de « Profession Logement » du 12 novembre 2010, dont copie jointe.
 
En 2007, comme indiqué dans notre plainte, il y avait bien en France, comme locataires du parc social, 378.000 ménages à revenus élevés, dont 53.000 parmi les plus riches.

Le CESI accrédité pour la certification diagnostic technique immobilier

Le CESI Certification a reçu du COFRAC son accréditation lui permettant de devenir le 13ème certificateur de l’hexagone sur l’activité diagnostic technique immobilier.

Avec ses 10 centres d’examens, le CESI Certification se positionne d’emblée comme un interlocuteur incontournable de la certification pour le diagnostic technique.

Immobilier ancien : attentiste au second trimestre

La FNAIM a publié ses chiffres concernant le marché de l’ancien et constate que le sursaut des prix observé annuellement au seuil de l’été n’a pas eu lieu en 2012. En cause, une conjugaison entre attentisme (élection présidentielle, législatives) et des mesures gouvernementales liées au logement restant à définir.

Au terme de 9 mois d’activité sans hausse, la variation annuelle des prix s’établit à :

+ 5,1 % en moyenne annuelle 12derniers mois/12 mois précédents

+ 2,6% en glissement semestriel (1er semestre 2012/1er semestre 2011)

+ 1,4% en glissement trimestriel (2ème trimestre 2012/2ème trimestre 2011)

La FNAIM estime que le mouvement de stabilisation des prix est bel et bien enclenché après deux années de hausses consécutives (+2% en 2010 et + 7,3% en 2011). Soit des prix qui, en province, correspondent au point haut d’une année comme 2007.

 

L’UNPI dépose une plainte auprès de la DGCCRF

L’UNPI, représentante des propriétaires immobiliers privés français, a déposé le 5 mai une plainte auprès de la Direction générale de la concurrence de la Commission européenne pour améliorer la situation du logement en France. L’objectif étant de rétablir les conditions d’une concurrence loyale sur le marché de l’immobilier locatif. Les aides d’Etat dont bénéficie le parc public ont en effet créé des distorsions de concurrence injustifiées tout en prouvant leur inefficacité au regard du but poursuivi : le logement des plus démunis.

 Jean Perrin, président de l’UNPI, rappelle la nécessaire complémentarité des parcs public et privé mais tient à souligner que le secteur privé, qui représente 6,2 millions de logements, est non seulement soumis à une lourde fiscalité mais aussi pénalisé par une discrimination résultant des nombreuses aides publiques consacrées au logement (dont il ne reçoit qu’une faible partie). Les bailleurs publics français bénéficient de plus de 20 milliards d’euros d’aides par an (sans compter les aides indirectes et locales) et sont en concurrence directe avec les bailleurs privés, s’adressant de surcroit à la même population. Sur ces 20 milliards, 3,8 milliards correspondent à des aides à la pierre, 9,1 milliards d’euros à des avantages fiscaux concernant la TVA et la taxe foncière, 1,2 milliards à des avantages de taux de prêts et 6 milliards à des aides à la personne.

 

Nouveau PDG à l’Adresse

L’Adresse a un nouveau PDG en la personne de Philippe Pierrat, 48 ans, sociétaire fondateur en 1999 du réseau.